La Russie m’a toujours fasciné – les valeureux héros qui ont défendu la Moscovie contre la Horde d’Or, la fastueuse et mystérieuse foi orthodoxe, les vastes espaces, la philosophie et la culture remarquables, la révolution bolchevique contre l’impérialisme… Il est clair que l’Occident a toujours été jaloux de ce génie exceptionnel.
Le dangereux affrontement actuel est un nouveau combat épique digne du glorieux passé de la Russie, mais qui a malheureusement lieu dans un monde cauchemardesque de drones et de bombes nucléaires. Beaucoup plus tragique que ce que décrivent les contes qui relatent la façon dont Boris Godounov a chassé les Polonais de Moscou, conduisant finalement à l’essor de la ville.
C’est peut-être la raison sous-jacente de la violente animosité qui s’exhale des médias occidentaux, tandis que le bulldozer états-unien tente d’inciter l’ours russe à faire quelque chose d’idiot comme d’attaquer cette stupide Pologne, par exemple. Mais le dirigeant russe est fidèle à ses principes et à ses compatriotes slaves et il tient bon, malgré les provocations. Personne ne va détruire la Russie ni ne réussira à faire éclater l’ancienne fédération slave en autant de supermarchés.

Es ist nicht einfach, den Euro-Monitaurus zu erlegen. Die Griechen haben nunmehr schon seit Jahren gelitten und auf die harte Tour gelernt, dass mit glänzenden Euros in den Händen die Prosperität nicht wunderbarerweise hinter der nächsten Ecke wartete. Was wartete, war eine Horde von deutschen Bankern, die scharf darauf waren, griechische Inseln für Winterurlaube zu kaufen, schmierige Banken, darauf aus, griechische Einkommen in ausländische Konten abzuziehen, und weitere Vorhaben der Herrschaften von der Hochfinanz.
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Pourquoi est-ce qu’en Occident on accepte et même on loue les soldats des Forces de défense israéliennes (FDI), tandis qu’on méprise et tue les combattants de l’État islamique (EI) ? En quoi le scénario des FDI est-il moins répréhensible que celui de l’EI ?
Die kanadische Rock-Legende Neil Young hat den Weg einer Mission beschritten. Er hat Sonntag abend im nationalen Fernsehen den Fehdehandschuh hingeworfen und die kanadische Regierung „vollständig außer Kontrolle“ genannt. Dann begann er seine Tour „Verträge einhalten“ in Toronto begonnen. Sein Ziel ist es, den First Nations [den Ureinwohnern des Landes] bei ihrem Kampf gegen die sich immer weiter ausweitenden Teersand-Projekte in Alberta beizustehen. Zur Regierung sagt er: „Geld ist die Nummer eins. Anstand gibt es auf deren Karte gar nicht.“ 



